Des multiples adjectifs accolés à l'expression "c'est le propre de la jeunesse d'être ..." Figurent en bonnes places ceux d'"impertinente", "rebelle", "utopiste" ou encore "révoltée".
Si l'on peut reconnaître tout du moins une chose à la jeunesse c'est de vivre dans son époque et dans la modernité. Peut-on alors imaginer que l'expression du caractère rebelle et transgressif, que l'on lui prête généralement, puisse se traduire de la même manière aujourd'hui qu'il y a dix ou trente ans ?